Description
Venez voyager dans le paysage délicat et parfumé des roses de Damas… en centre Bretagne !
Mon projet est de valoriser ces fleurs qui poussent sur les terres de mes ancêtres, entre Berrien et Huelgoat, en développant une gamme subtile en cosmétique et alimentaire « Made In Breizh ».
J'envisage de proposer des visites, afin de faire découvrir l'art de la distillation et créer du lien dans cette zone rurale, grâce à des événements festifs au jardin, à la distillerie, avec des concerts, ateliers d’initiations et découvertes liées à la cueillette, à l’art, au bien-être féminin, à la cosmétique maison, aux parfums, avec des professionnels locaux, spécialistes dans leur domaine.
Si vous aimez le local, le vivant, le 100 % naturel, l’humain, bienvenue dans cette belle histoire parfumée !
L’histoire
J’ai décidé de me lancer dans cette aventure lors de mon retour sur le sol Breton, il y a un peu plus de deux ans. Mon père avait planté, quelques années auparavant, ces roses envoûtantes pour bénéficier de leur parfum enivrant et sucré, dans son jardin. Parfois excessif, il en avait planté 150 pieds et s’en occupait avec beaucoup d’amour. Mais il était dépité de devoir les mettre sur son compost au bout de quelques jours. Il m’a donc proposé d’imaginer une solution pour valoriser leurs parfums, saveurs et vertus.
Aventurière dans l’âme, et toujours enthousiaste à l’idée d’inventer, d’innover, de rêver, de créer, j’ai lancé un questionnaire en ligne pour voir si l’idée pourrait intéresser. Je l’ai partagé via ma newsletter, les réseaux sociaux et réseaux d’entrepreneuriat dont je fais partie ( Femmes de Bretagne, Entreprendre au Féminin, EGEE, BGE ) et j’ai eu près de 300 réponses et de propositions de mises en relation.
Tout s’est enchaîné avec simplicité et j’ai rencontré deux distillatrices d’eaux florales ( distillats et hydrolats ) qui m’ont partagé leur expérience, et cela m’a tellement plu que je suis allée me former au CFPPA de Nyons, sur la production et transformation des plantes aromatiques et médicinales.
Quelques boutiques ont accepté de tester la vente de mes premières eaux florales et j’en ai donné, pour avoir des retours... plus que positifs sur les bienfaits ressentis !
La prochaine étape : l'installation en tant que paysanne et distillatrice en Bio.
La porteuse de projet
Je me prénomme Alexandra. Bretonne de souche, initialement architecte, puis "activatrice de génies sensibles" ( valorisatrice de la sensibilité unique d’entrepreneurs et porteurs de projets, dans la définition de leur concept, image de marque, accroissement de leur visibilité et leur confiance en eux ), j’ai toujours gardé un lien avec le centre Bretagne où vivaient mes grands-parents, agriculteurs. J’y ai travaillé lors de ma première partie de carrière et, lorsque j’ai quitté le sol breton, je revenais régulièrement m’y ressourcer. Jusqu’au jour où j’ai ressenti l'appel intérieur du retour aux racines ( le breton revient toujours sur sa terre natale m'avait-on dit ! ). Je ne savais pas que j’y vivrais une étonnante aventure liée à cette rose aux nombreuses vertus...
Depuis quelques années, mon père les bichonne et explore celles qui s'adaptent le mieux au temps Breton ( parfois humide ? Si peu ! ), celles qui exhalent leur parfum et qui résistent aux quelques gelées et même à la neige des Monts d'Arrée ! .
Il m'a transmis ses connaissances, sa passion, son savoir-faire... et j'y ai rajouté mes idées, mes suggestions ( sachant que comme tout bon breton qui se respecte, il n'en fait qu'à sa tête ! ).
Passionnée par l'aventure humaine, je reste persuadée qu'un jardin n'est pas fait pour être gardé jalousement, mais pour y faire de belles rencontres, passer un beau moment et pourquoi pas inventer ensemble d'autres possibles ?
Ayant plus d'un tour dans ma besace, et la soif de partager avec d'autres individus de mon espèce, je suis certaine que ce projet n'est que le début d'une histoire qui reserve de belles surprises.
Utilisation des fonds
L'alambic, c'est un magnifique objet qui permet de récupérer, grâce à la production de vapeur, la quintessence des plantes en distillats/hydrolats aussi appelés eaux florales et huiles esssentielles.
À noter que pour 4 tonnes de fleurs, on récupère environ 1 litre d'huile essentielle, autant vous dire que j'ai choisi de laisser ces quelques gouttes d'HE qui flottent à la surface de mes eaux florales, afin de valoriser leur qualité et d'en assurer une meilleure conservation.
L'alambic dans lequel j'ai choisi d'investir est prévu pour la distillation des plantes aromatiques et médicinales. C'est un alambic dit " à colonne " qui va faire 150 litres et me permettre de distiller environ 30kg de plantes, pour faire 30 litres d'eau florale.
L'investissement pour l'achat de l'alambic : 3 000€
Si votre générosité et votre intérêt dépassent ce montant, je pourrai envisager d'investir dans un labo avec du matériel digne de ce nom (+ 10 000€), afin de pouvoir effectuer des tests et développer les produits que j'ai imaginé... confection de sirops, gelées, tisanes et thés, et au fil des années, une petite gamme de produits cosmétiques ( crème, baume floral par enfleurage, macérat huileux... )
Voici les idées de produits que j'envisage de développer, au fil des ans
Et si vous êtes hyper hyper généreux, on pourra même créer une boutique valorisant les savoirs-faires et produits locaux, un espace pour les événements festifs (scène), un espace d'accueil du public pour des ateliers, un hébergement insolite au milieu du jardin de roses... ( et même que si vous avez des idées, soyez les bienvenus pour les suggérer en commentaire! )
J'espère vous avoir donné envie de m'aider à l'éclosion de cette merveilleuse histoire ? Mon père et moi seront ravis de pouvoir échanger avec vous, tout comme vous partager cette passion des roses de Damas et plein d'autres choses lors de votre passage dans nos contrées magiques de centre Bretagne.
A bientOoh !!!
Alexandra Merer
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